Foire aux questions

La prescription sociale est une approche structurée qui met en contact des personnes avec des services et des activités communautaires non cliniques dans le but de favoriser leur santé et leur bien-être. Cette approche centrée sur la personne favorise une collaboration intentionnelle entre le secteur de la santé, celui des services sociaux et celui des services communautaires. Elle offre un soutien à l’orientation et la création collaborative de solutions axées sur les champs d’intérêt, les objectifs et les forces de chaque personne et communauté.

Pour en savoir davantage, visitez notre page «  Qu’est-ce que la prescription sociale?  »

La notion de prescription sociale n’est pas récente au Canada. Elle témoigne d’un retour aux modèles sociaux de soins inhérents aux modes de connaissance et de guérison autochtones, qui mettent l’accent sur l’interdépendance et l’importance des liens. Les communautés ont historiquement combiné les interventions médicales et sociales pour prendre en compte les déterminants sociaux de la santé. 

Bien que le concept de « prescription sociale » ait fait son apparition en Angleterre dans les années 1990, il se fonde sur les forces et le travail déjà existants des praticiens et des communautés. Il permet d’uniformiser la terminologie, et d’établir une démarche structurée, des parcours formalisés, et une évaluation intentionnelle. La prescription sociale constitue ainsi un cadre collaboratif favorisant l’amélioration de la santé et du bien-être de la population. Cette approche gagne progressivement en popularité au Canada.

De nombreux facteurs qui influencent notre santé et notre bien-être dépassent la portée des médecins ou des médicaments. Selon l’Organisation mondiale de la Santé, les déterminants sociaux de la santé, tels que le soutien social, la stabilité financière et l’accès aux services, peuvent influencer positivement la santé.

La prescription sociale consiste à orienter les gens vers des ressources communautaires et des réseaux de soutien, ce qui leur permet d’agir sur ces déterminants. En mettant les personnes en contact avec des services de soutien pertinents, tels que ceux concernant l’aide au revenu, le logement, la sécurité alimentaire et l’établissement des nouveaux arrivants, la prescription sociale favorise les soins préventifs et encourage la gestion proactive de la santé et du bien-être, en plus de donner aux personnes les moyens de prendre leur santé en main. On peut ainsi alléger la charge sur le système de santé et réduire la fréquence des consultations et des hospitalisations.

En bref, la prescription sociale est une approche globale des soins de santé qui va au-delà du traitement des symptômes physiques. Elle répond aux besoins sociaux, émotionnels et pratiques des individus, ce qui améliore leur bien-être général.

La prescription sociale peut bénéficier aux individus et aux communautés, en particulier aux personnes isolées socialement, et aux personnes souffrant de problèmes de santé mentale légers, de maladies chroniques ou de difficultés d’accès aux ressources communautaires. Elle est aussi utile pour quiconque veut améliorer son bien-être général.

Au Canada, les initiatives de prescription sociale se concentrent actuellement sur l’accompagnement des personnes âgées, des aidants et des jeunes.

Au Canada, les prescriptions sociales courantes comprennent l’aide au revenu, les services de logement, les programmes alimentaires et nutritionnels, les groupes d’apprentissage et de soutien, les activités artistiques et culturelles, l’aide au vieillissement à domicile, les programmes d’amitié, l’activité physique, le jardinage, le bénévolat et de nombreuses autres ressources adaptées à chaque situation. Les activités sont adaptées aux besoins individuels et aux ressources offertes dans la communauté. 

La prescription sociale ne vise pas à remplacer les médicaments, mais plutôt à s’ajouter aux traitements cliniques en agissant sur les facteurs structurels, sociaux, comportementaux et liés au mode de vie qui influencent la santé. 

La prescription sociale s’ajoute aux services existants plutôt que de les remplacer ou de les concurrencer. En établissant un parcours formalisé pour orienter les clients vers des ressources non cliniques, elle facilite la transition entre les soins cliniques et les ressources communautaires, ce qui renforce la continuité globale des soins.

Dans les milieux où travaillent des professionnels paramédicaux et des services sociaux, comme les travailleurs sociaux ou les navigateurs du système, les initiatives de prescription sociale s’intègrent à l’équipe pour offrir des ressources additionnelles. Cela peut inclure :

• L’accès à un plus grand éventail de ressources grâce à des services et des activités communautaires.
• Un éventail élargi d’interventions sociales.
• L’offre d’un soutien ou d’un accompagnement personnalisé.
• La répartition de la charge de travail liée aux déterminants sociaux de la santé, ce qui permet aux professionnels paramédicaux de se concentrer sur des cas plus complexes ou des interventions spécialisées.

La prescription sociale renforce la collaboration et l’efficacité au sein des équipes de soins de santé. Elle améliore également les résultats pour les individus et les communautés.

La prescription sociale s’ajoute aux services et programmes communautaires existants pour les bonifier. Selon les ressources offertes dans une communauté, les initiatives de prescription sociale peuvent :

• Stimuler la communication entre les patients et les professionnels de la santé en faisant des consultations médicales un point d’entrée pour accéder aux ressources communautaires.
• Renforcer les services d’orientation existants et s’y ajouter en introduisant des compétences standardisées et en fournissant un meilleur soutien global.
• Contribuer à évaluer l’influence des ressources communautaires sur la santé et le bien-être des personnes, et favoriser une planification et des investissements axés sur des données factuelles.

En s’intégrant aux programmes actuels, la prescription sociale renforce un système de soutien plus intégré et plus efficace pour les individus et les communautés.

Les évaluations des initiatives de prescription sociale au Canada ont révélé des résultats positifs, notamment une réduction de la solitude, un sentiment accru d’appartenance et une amélioration de la santé mentale. Des données prometteuses émergent également des recherches en ce qui concerne une diminution des consultations pour des soins de santé et une meilleure coordination entre les soins cliniques et les ressources sociales.

L’Institut canadien de prescription sociale (ICPS) et la Campbell Collaboration ont créé une représentation visuelle des données et des lacunes qui offre un aperçu des examens systématiques et de la recherche primaire sur l’efficacité des interventions de prescription sociale. De plus, la National Academy for Social Prescribing en Angleterre a compilé divers documents d’information et guides résumant les preuves existantes.

L’ICPS a également collaboré avec KPMG LLP pour analyser les impacts économiques et sociaux de la prescription sociale au Canada. Selon cette étude, chaque dollar investi dans la prescription sociale pourrait rapporter 4,43 $ à la société par l’amélioration du bien-être et la réduction des coûts des soins de santé et des dépenses publiques.

Bien que les résultats soient encourageants, l’ICPS et ses partenaires canadiens poursuivent la collecte et l’analyse de données sur l’impact, et la collecte de témoignages de personnes et de prestataires. Si vous souhaitez contribuer à la recherche visant à approfondir la compréhension des avantages et de l’efficacité de la prescription sociale au Canada, n’hésitez pas à nous contacter!

Au Canada, il n’y a pas encore de financement public systématique pour la prescription sociale. Les mécanismes de financement varient d’une région à l’autre, ainsi que d’une initiative à l’autre. La majorité des programmes dépendent d’un appui temporaire fourni par des organismes philanthropiques et des subventions gouvernementales. Cependant, certaines régions ont réussi à obtenir des engagements de financement à plus long terme de la part des gouvernements locaux et de divers ministères.

La prescription sociale est une pratique adoptée par diverses organisations communautaires et de santé à l’échelle provinciale et régionale à travers le Canada. Des initiatives sont en cours en Colombie-Britannique, en Alberta, en Saskatchewan, au Manitoba, en Ontario, au Québec et à Terre-Neuve-et-Labrador. Pour en savoir plus sur les organisations concernées, consultez la carte des initiatives de prescription sociale.

Bien que ces projets et initiatives fonctionnent de manière autonome, des efforts considérables sont faits pour collaborer, partager les connaissances et échanger des ressources. Cette collaboration se réalise grâce à une communication régulière, à des réunions de la communauté de pratique, à des webinaires et à des conférences.

La prescription sociale est formellement mise en œuvre dans plusieurs pays, notamment au Royaume-Uni, en Allemagne, au Portugal, en Australie, à Singapour, et aux États-Unis. Pour obtenir une vue d’ensemble, consultez le document intitulé «  Social Prescribing Around the World Report 2024  ».

Il n’y a pas de modèle universel pour la prescription sociale au Canada ou ailleurs dans le monde. Cependant, il existe des éléments communs à tous les modèles, même s’ils sont adaptés aux spécificités locales et communautaires. Les principes communs à toutes les initiatives de prescription sociale sont la collaboration intentionnelle, le parcours formel établi entre les secteurs des soins de santé et les communautés, le soutien dédié à la mise en contact et à l’orientation des individus et des communautés, l’accent mis sur la création collaborative de solutions axées sur la personne et l’évaluation structurée des résultats.

À l’heure actuelle, il n’y a pas d’approche standardisée unique pour évaluer la prescription sociale au Canada ou ailleurs. Cependant, des efforts sont en cours pour mettre au point des approches plus uniformes et exhaustives pour évaluer l’efficacité et l’impact des interventions de prescription sociale. Pour l’instant, la National Academy for Social Prescribing offre une mine de ressources et d’outils d’évaluation.

Les initiatives de prescription sociale permettent généralement aux professionnels de la santé réglementés, tels que les médecins, le personnel infirmier praticien, le personnel infirmier, les diététistes et les pharmaciens, de repérer les clients ayant des besoins sociaux non médicaux liés à la santé et de les aiguiller vers un agent de liaison ou un navigateur spécialisé dans la prescription sociale.

Les consultations cliniques constituent souvent le principal point d’entrée vers le soutien social. De plus, plusieurs initiatives de prescription sociale acceptent les aiguillages provenant d’organismes offrant des services sociaux et d’organismes communautaires, ou encore les demandes provenant directement des clients.

Les prestataires de soins de santé, en particulier les médecins de famille, constituent souvent un point d’entrée en qui les personnes qui ont des problèmes de santé ont confiance. Ils sont bien placés pour déterminer les besoins non médicaux influençant la santé et le bien-être global d’une personne. De plus, les études montrent que les aiguillages des prestataires de soins de santé confèrent une crédibilité à la procédure de prescription sociale, ce qui peut contribuer à accroître l’engagement et l’adhésion aux interventions sociales.

Toutefois, la prescription sociale n’est qu’un des moyens pour agir sur les déterminants sociaux de la santé. Elle met à profit les consultations médicales pour détecter les besoins sociaux et elle permet aux personnes et aux communautés d’accéder aux ressources et aux services communautaires.

La communauté offre une multitude de programmes et de services pour aborder des questions plus larges liées au bien-être des individus. Si une personne ne peut pas consulter un professionnel de la santé ou n’a pas accès à des initiatives sociales dans sa région, elle peut contacter le 211 pour être orientée vers les ressources et les services offerts localement.

Les agents de liaison de la prescription sociale, aussi nommés « navigateurs », jouent un rôle essentiel dans la coordination des soins de santé et des services sociaux. Ils offrent un accompagnement personnalisé et collaboratif pour que les personnes puissent avoir accès aux ressources et aux services dont elles ont besoin. Les agents de liaison évaluent les besoins, les forces, les champs d’intérêt et les objectifs de chaque personne, les orientent vers les ressources communautaires appropriées, les motivent et les aident à surmonter les obstacles. Ils offrent un soutien de navigation vers les services sociaux et communautaires.

Les agents de liaison n’interviennent généralement pas en cas de crise et peuvent aiguiller les cas plus complexes à d’autres professionnels de la santé.

Ces rôles, qui sont généralement non cliniques, sont tenus par des personnes ayant une variété d’expériences et de formations. Leurs fonctions s’ajoutent à celles des prestataires de soins de santé et de services sociaux et apportent un soutien additionnel à l’équipe de soins interprofessionnelle et communautaire.

Pour en savoir plus, consultez le cadre de compétences des agents de liaison pour la prescription sociale au Canada.

Les agents de liaison et les navigateurs de la prescription sociale peuvent travailler pour divers organismes du secteur de la santé et du secteur communautaire, selon le financement et le modèle du programme de chaque région. Parfois, ils sont recrutés par des réseaux de soins primaires, des équipes de santé familiale, des centres de santé communautaire ou des autorités sanitaires locales pour faire partie d’équipes de soins intégrés. Les agents de liaison peuvent également travailler dans des organisations communautaires qui collaborent avec des prestataires de soins de santé.

Quelle que soit l’organisation qui les emploie, les agents de liaison doivent collaborer étroitement avec les prestataires de soins de santé, les services communautaires et d’autres partenaires locaux pour offrir des services de prescription sociale efficaces et axés sur la personne.

La formation des agents de liaison varie selon la région et l’initiative, mais elle inclut habituellement des compétences telles que l’écoute active, les approches de soins fondées sur l’équité, les entretiens motivationnels et une connaissance approfondie des ressources et des services communautaires locaux. Pour obtenir davantage d’informations et accéder à des ressources, veuillez consulter le cadre de compétences des agents de liaison de la prescription sociale ainsi que la feuille de route pour la formation en prescription sociale.

Aucune qualification particulière n’est actuellement requise pour devenir agent de liaison. Toutefois, posséder des connaissances, une expérience et des compétences pertinentes peut grandement améliorer votre capacité à exceller dans ce rôle.

Pour en savoir plus sur le rôle et les compétences d’un agent de liaison, le cadre de compétences des agents de liaison et la feuille de route pour la formation en prescription sociale sont d’excellentes ressources.

Bien que l’ICPS agisse comme carrefour de connaissances, ne fournisse pas de services directs et n’emploie pas d’agents de liaison, vous pouvez utiliser la carte des initiatives de prescription sociale pour trouver des organisations qui recrutent pour ces postes.

La prescription sociale n’a pas encore été mise en œuvre de manière systématique à travers le Canada, ce qui entraîne des disparités dans l’accès aux services selon les provinces et les régions. En règle générale, l’accès commence par un aiguillage d’un prestataire de soins de santé ou d’un organisme de services sociaux, bien que certains programmes puissent autoriser les demandes provenant directement des clients. Pour savoir si des services de prescription sociale sont disponibles dans votre région, il est recommandé de consulter les initiatives locales existantes.

Si la prescription sociale n’est pas encore offerte dans votre région, le 211 est un service d’aiguillage utile qui peut vous orienter vers les ressources et l’aide communautaires disponibles. De plus, discutez avec votre professionnel de la santé pour le sensibiliser à l’importance des interventions non médicales pour votre santé et demandez-lui de promouvoir la prescription sociale dans votre communauté.

Les professionnels et les équipes de santé qui souhaitent intégrer la prescription sociale dans leurs activités peuvent consulter un guide complet et des outils pratiques offerts par le Centre for Effective Practice (CEP). La page Social Prescribing du CEP offre des informations détaillées sur ce qu’est la prescription sociale et sur l’établissement des besoins et la mise en œuvre efficace de prescriptions sociales.

La «  Social Prescribing Training Roadmap  » (feuille de route pour la formation en prescription sociale) offre un aperçu des compétences essentielles ainsi que des liens vers des formations et des ressources pour les prestataires de soins de santé et les autres personnes qui participent à la procédure de prescription sociale.

De plus, il est possible que des initiatives de prescription sociale existent déjà dans votre région. N’hésitez pas à vous renseigner sur ces programmes locaux pour y participer activement et commencer à intégrer la prescription sociale dans vos pratiques de soins.

Les organisations communautaires peuvent jouer un rôle crucial dans la prescription sociale en s’associant avec des prestataires de soins de santé et des programmes de prescription sociale pour offrir des services et des activités. Elles contribuent également à déterminer les besoins de la communauté et à créer de nouveaux programmes pour combler les lacunes en matière de services.

Dans certaines régions, des organisations communautaires prennent l’initiative de lancer des initiatives de prescription sociale, en réunissant des partenaires régionaux du secteur de la santé, du secteur des services sociaux et du secteur communautaire. Elles contribuent à la conception de parcours d’aiguillage collaboratifs et à l’emploi d’agents de liaison de la prescription sociale.

Pour en savoir plus sur le rôle des organisations communautaires et l’accès à la formation et aux ressources, veuillez consulter la feuille de route pour la formation en prescription sociale.

Oui, les prestataires de soins de santé peuvent toujours aider les patients en les mettant en contact avec des services sociaux et communautaires, même en l’absence d’un modèle officiel de prescription sociale. Ils peuvent repérer les patients qui pourraient tirer profit de programmes répondant à leurs besoins non médicaux, puis utiliser des outils comme le 211 pour trouver des ressources et des organisations locales.

Même si les patients ne bénéficient pas du soutien complet que fournissent généralement les agents de liaison ou les rôles similaires, cette approche leur permet tout de même de répondre à leurs besoins de santé globaux, en établissant des liens avec les services communautaires disponibles.

Les initiatives de prescription sociale peuvent être menées par des organisations communautaires, des équipes de soins de santé, des autorités sanitaires ou d’autres groupes ayant la capacité d’établir et de maintenir des partenariats régionaux. Le leadership idéal dépendra du contexte local et des atouts des partenaires disponibles.

De nombreuses ressources sont à votre disposition pour concevoir, mettre en œuvre et établir des partenariats pour les programmes de prescription sociale dans différentes régions et divers secteurs. Pour accéder à ces outils et tirer parti des ressources de formation élaborées par des organisations communautaires et de santé à travers le Canada, consultez la feuille de route pour la formation en prescription sociale.

À l’heure actuelle, il n’existe pas de financement gouvernemental systématique pour les projets de prescription sociale au Canada. Cependant, les possibilités de financement varient en fonction de votre région et des particularités de votre initiative. Les possibilités de financement incluent :

• Subventions publiques
• Subventions de recherche
• Organisations philanthropiques
• Administrations municipales
• Équipes et réseaux de soins de santé

Vous pouvez obtenir les ressources nécessaires pour lancer votre initiative en examinant les possibilités de financement local et en établissant des partenariats avec des organisations investies dans la santé communautaire.

Les chercheurs jouent un rôle essentiel dans l’approfondissement des connaissances factuelles et la promotion de l’application efficace et de l’avancement de la prescription sociale. Leurs contributions peuvent inclure :

• Évaluation de programmes : évaluer l’efficacité et l’impact des initiatives de prescription sociale.
• Exploration théorique : examiner les cadres conceptuels pour mieux comprendre les résultats.
• Action visant à combler les lacunes dans les données probantes : se concentrer sur des populations, des parcours ou un domaine particulier qui n’ont pas encore fait l’objet d’études approfondies.
• Analyse contextuelle : examiner les facteurs susceptibles d’influencer la mise en œuvre et l’évolution.
• Amélioration des meilleures pratiques : informer les approches afin d’améliorer la réussite des programmes.

La collaboration avec les prestataires de soins de santé, les organisations communautaires et les décideurs politiques assure que la recherche est fondée sur les besoins réels et qu’elle contribue à l’élaboration de recommandations fondées sur des données probantes en ce qui concerne les politiques et les investissements.

Si vous êtes un chercheur qui s’intéresse à quelque aspect que ce soit de la prescription sociale, n’hésitez pas à nous contacter! 

Les champions de tous les secteurs et de toutes les régions ont un rôle crucial à jouer dans la promotion des pratiques de prescription sociale pour améliorer le bien-être. Pour participer, voici quelques idées :

• Apprenez et diffusez vos connaissances : Informez-vous sur la prescription sociale et les initiatives dans votre région, puis communiquez ces informations aux prestataires de soins de santé, aux organisations communautaires, aux décideurs politiques et à d’autres personnes.
• Défendez cette cause : Promouvez l’intégration de la prescription sociale dans les systèmes de santé locaux et les réseaux communautaires en communiquant avec les autorités sanitaires, les élus ou d’autres décideurs.
• Soulignez les réalisations : Publiez des exemples inspirants de réussite et des preuves des avantages de la prescription sociale sur les réseaux sociaux ou des plateformes communautaires pour sensibiliser les gens et susciter leur adhésion.
• Intégrez les principes de la prescription sociale : Que vous soyez prestataire communautaire, professionnel de la santé, chercheur ou étudiant, trouvez des moyens d’intégrer la prescription sociale dans votre travail ou vos études. Incitez vos collègues et vos pairs à explorer également son potentiel.

CISP is primarily a knowledge hub and is not able to provide financial grants to projects or organizations.  

Il y a plusieurs façons de s’engager auprès de l’Institut canadien de prescription sociale (ICPS) :

• Restez informé : Inscrivez-vous à notre liste de diffusion et suivez-nous sur les réseaux sociaux pour être au courant des dernières nouvelles, des événements et des opportunités.
• Étudiants et bénévoles : Explorez les possibilités de stages, d’internats et de bénévolat en remplissant notre formulaire de demande.
• Offres d’emploi : Lorsque des postes doivent être pourvus, nous les publions sur nos plateformes de médias sociaux.